Dans un courrier du 7 février, le Conseiller spécial à la Région a clairement déclaré la guerre à l'Office Français de la Biodiversité (OFB), souhaitant la suppression totale de cet organisme de contrôle. Pour cela, il n'hésite pas à braconner un chouïa une histoire de castor.
Après un bilan de 2024 plutôt rassurant en termes d'économie locale, le préfet de la Haute-Loire s'est penché sur un sujet brûlant, entre économie et écologie : le projet de construction d'une zone d'activité à Saint-Didier-en-Velay, en plein bois de Bramard.
Face à la presse altiligérienne, le préfet de la Haute-Loire s'est exprimé au sujet de la situation économique de la Haute-Loire. Une économie qu'il qualifie de résiliente, et de nouveau en bonne voie.
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« Une soirée au Cabana Coco entre amis. Des verres qui s'enchaînent. Un barman sympathique, un After plus "Chill". Ils se réveillent… Une chambre inconnue… Menottés ! Impossible de bouger ! Que s'est-il passé ? Comment sont-ils arrivés là ? Difficile de se rappeler avec ce mal de crâne… Que faire ? Appeler au secours, mais qui ? Comment ?! Il leur faut maintenant trouver un moyen de se libérer... »
Après le tribunal administratif de Lyon la semaine dernière, c'est la partie pénale via le PNF qui fait parler d'elle. On apprend que Michel Chapuis a été à nouveau entendu dans le courant du mois de février.
La Maison Pour Tous de Brives-Charensac était en ébullition ce vendredi dans le cadre du festival En Voiture Simone. Deux groupes d'envergure avaient pour objectif de marquer la salle de la Minoterie au fer rouge. La Cafetera Roja et Malaka, deux groupes du label altiligérien Green Piste Records, ont accompli cette tâche avec brio devant un peu plus de 300 spectateurs. (Galerie photos en fin d'article)
Ainsi est-ce le sentiment de l'ensemble des infirmières du service endoscopie en activité à l'hôpital public ponot. Car, si "l’intégralité de l’équipe infirmière s’est vu prescrire un arrêt maladie lié à un profond mal-être au travail, en lien avec (...) avec l’attitude d’un médecin qui a des propos dénigrants, dégradants, voire graveleux et sexistes", selon le syndicat CGT, le mis en cause opère toujours.
