Un chèque de 2 000€ pour les enfants hospitalisés à Émile Roux au Puy
Il y a trois ans... en plein confinement
Il y a trois ans jour pour jour, le dimanche 19 avril 2020, le monde était en proie à une crise sans précédent. C'est ce jour-là que nous avions tourné une vidéo qui sert en quelque sorte de témoignage.
La pandémie de COVID-19 avait bouleversé nos vies, et la plupart d'entre nous étaient confinés chez eux. Les rues étaient vides, les magasins étaient fermés, et le silence régnait en maître dans nos villes.
Pourtant, aujourd'hui, presque personne ne se souvient de cette époque. Nous avons repris nos vies normales, ou du moins quelque chose qui y ressemble. Les rues sont à nouveau remplies de voitures, les magasins ont rouvert, et les gens se déplacent librement. Nous avons presque oublié le silence qui a régné pendant cette période, ce silence était inoubliable. Nous nous souvenons du calme absolu qui régnait dans nos rues, du chant des oiseaux qui semblait s'amplifier en l'absence de bruits de moteurs. Il y avait des endroits où le silence était encore plus éloquent. Nous nous souvenons notamment d'une vidéo que nous avons réalisée en sortant du Puy, sur la nationale 102. Cette route, qui voit des centaines et des centaines de voitures passer chaque jour était déserte.
Il n'y avait presque aucune circulation, à part un véhicule.... de gendarmerie.
Cette vidéo nous rappelle à quel point la pandémie de COVID-19 avait changé nos vies, et à quel point la nature peut être belle quand elle n'est pas perturbée par le bruit de la circulation.
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4 commentaires
le confinement n'a-t-il pas commencé le 17 mars 2020 ?
le gouvernement a fait, assez ou pas assez, il est critiqué. Il n'aurait rien fait il est critiqué. Les fauquon, yaka, sont nombreux mais quand on est aux affaires c'est moins facile. Il suffit d'entrer dans une association pour le constater. Mis à part ceux qui sont avides de titres qui restent, les autres ceux qui mouillent la chemise sont découragés.
Très facile de mal juger après coup, quand on connait l'issue. De nos yeux de 2023, on peut réaliser qu'on en a un peu trop fait avec les restrictions, les vaccins ou la peur mais la précaution et la protection n'est-elle pas la sagesse ? Qu'aurions-nous dit si la mortalité durant la première vague s'était prolongée sans que les pouvoirs publics ne réagissent ? ... Je trouve aussi bizarre que ceux qui critiquent tant la société de consommation soit frustrés qu'on ait limité leur consommation pendant quelques mois. Finalement, les plus avides de se promener et de faire tourner la machine économique du futile et du gaz carbonique ne sont peut-être pas dans le camp que l'on croit. Quoi qu'il en soit, nous devrions être heureux d'être sorti de cette période sans cataclysme.
On oublie vite !!! se rappeler aussi que comme des moutons on se signait des "bons de sortie" d'une heure !