Jeudi 27 juin, le Président du MoDem (Mouvement Démocrate), François Bayrou, se rendra en début d'après-midi, dans la cité pavée, pour soutenir les candidats altiligériens de la majorité présidentielle.
À moins d’une semaine du premier tour des élections législatives anticipées, Cécile Gallien et son suppléant Lélio Duprat, candidats en lice dans la 1ʳᵉ circonscription de la Haute-Loire, aux côtés de Patricia Joubert et de Vanessa Kesseli pour la 2ᵉ circonscription, vont recevoir la visite d’une figure politique française, François Bayrou.
L’ancien ministre de l’Éducation nationale (sous François Mitterrand et Jacques Chirac) et ancien ministre de la Justice (pendant 35 jours sous l’ère Macron I) va ainsi fouler le territoire du 43ᵉ département pour encourager les troupes locales dans la bataille politique en cours.
« Le temps a passé, mais les fidélités restent »
« C’est un soutien national très important, partage Cécile Gallien, maire de Vorey-sur-Arzon depuis 16 ans. Je suis centriste et adhérente au MoDem dont il est le Président. Nous sommes infiniment ravis de sa venue parce qu’il connaît la vraie vie, les questions de ruralité et la priorité des gens ».
D’après Cécile Gallien, le maire de Pau (Pyrénées-Atlantiques) est déjà venu en 2007 pour appuyer la candidate voreyzienne lors des mêmes élections. « Le temps a passé, mais les fidélités restent, partage-t-elle. Aujourd’hui, nous nous concentrons sur la nécessité d’appliquer à bras-le-corps la transition écologique, mais également une meilleure justice sociale et économique ».
Elle ajoute : « Nous entendons constamment ces demandes de la part des gens que nous croisons dans les rues et les marchés ».
« On peut être certain que le monde nous regarde »
La peut-être future députée de la 1ʳᵉ circonscription de la Haute-Loire complète enfin : « La présence de François Bayrou est un honneur pour nous. Il a été au cœur de nombreuses batailles politiques au niveau national. Il a beaucoup travaillé avec cette idée de réconciliation en se fondant sur un très fort humanisme ».
Avant de terminer avec ces mots : « Ce qui va se passer le 30 juin est historique pour la France et pour l’Europe. Et si on ne peut savoir à l’avance le résultat des urnes, on peut être certain que le monde nous regarde ».
