Ski, écologie… Un séjour enrichissant pour ces collégiens de Haute-Loire
16 candidates 4 départements, une Miss Auvergne
Le 17 septembre, c’est au Palais des spectacles de Vals-près-le-Puy que se déroule l’élection de celle qui représentera la région auvergnate pour l’aventure Miss France 2023. Ci-dessous, le portrait des candidates.
En présence de Diane Leyre, Miss France 2022 et d’un artiste finaliste de l’émission Incroyable talent (2021) dont le nom n’a pas encore été dévoilé, 16 reines de beauté élues lors des sélections départementales vont défiler devant un parterre de jury et de public dans le centre culturel de Vals-près-le-Puy, samedi 17 septembre.
À l’issue de cet événement constitué, certes, de strass et de paillettes mais également d’arguments et de motivations de la part des candidates, un nouveau nom succédera à celui d’Anaïs Werestchack, puydômoise et Miss Auvergne 2022.
Le spectacle débute à 20 heures et se termine à 23h30. Pour la billetterie, cliquez sur ce LIEN.
Quatre candidates altiligériennes
Concernant la Haute-Loire, les ambassadrices du plus beau département du monde (en toute objectivité…) sont Laurine Pousse de Chadrac, 22 ans, étudiante en BTS gestion PME, Marie-Amélie Richard de Malvalette, 24 ans, professeur d’anglais, Coralie Pla de Coubon, 24 ans, auxiliaire puéricultrice, et Ptissame Hirchaou du Puy-en-Velay, 19 ans, animatrice pour enfants souffrants de handicap. Leurs portraits sont en bas de l'article avec les numéros 13, 14, 15 et 16.
Du côté de l'Allier :
Dans le Cantal, nous avons :
Pour le Puy-de-Dôme ▼
Et pour la Haute-Loire, ce sont elles :
Vos commentaires
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4 commentaires
Je reste un peu perplexe quant à l'élégance et le respect du corps dans la pornographie ! Vraiment ?
Je suis opposé à ce genre de manifestations ; par respect pour ces candidates je n'irai pas à assimiler la manifestation au salon de l'agriculture.
Formatées, inexpressives, sans personnalité. Ces poupées de cire sont si peu désirables qu'elles en paraissent asexuées. Aucun argument, aucune motivation ne peut justifier d'être ainsi réduite à la qualité de "reine de beauté", beauté définie par des hommes et pour des intérêts commerciaux. La façon dont ces malheureuses sont traitées et exhibées est obscène. Il y a beaucoup plus d'élégance et de respect du corps dans la pornographie que dans ce concours grotesque et rétrograde, survivance d'un patriarcat malsain. Il n'a pas d'autre équivalent que le salon de l'agriculture.
2,7,8,16 si il fallait voter!