Max Roméo, légende du Reggae est en train d'effectuer sa tournée d'adieu. Un grand voyage, pour clôturer une carrière débutée en 1969, qui le verra passer de Barcelone, à Rome, à l'Olympia à Paris et dans de nombreuses villes du monde. Mais également... à Brassac-les-Mines. 3 300 habitants au compteur, mais surtout des jeunes passionnés, l'association "Les Jeunes Mine de Rien", crée en 2012 par des jeunes lycéens de Brassac pour dynamiser et faire rayonner leur commune.
Faire rayonner Brassac
"Nous sommes tous bénévoles, nous avions une seule motivation, mettre en place un rendez-vous, d'envergure nationale, à Brassac-les-Mines pour faire rayonner notre commune", explique Adrien Dufour, l'un des jeunes à l'initiative et à l'organisation de l'Arverne Reggae Festival.
Des artistes internationaux
Ensuite, le Reggae est venu par passion. "Nous aimions tous beaucoup le Reggae, nous nous sommes rendus compte qu'il n'y en avait pas forcément dans la Région, donc on a opté pour un festival de Reggae"; explique Adrien Dufour. Et depuis six éditions, le festival de Brassac monte petit à petit en régime. Jusqu'à atteindre son pic cette année avec pléthore d'artistes internationaux, comme les Twinkles Brothers, Anthony B ou le Français Manudigital. "Notre but, c'est de grimper une marche supplémentaire à chaque édition, nous avons débuté avec un soir, sans artistes internationaux, aujourd'hui, nous allons tenir trois soirs avec que des grands artistes au programme", explique l'organisateur.
Un moment convivial pour petits et grands
Conforme a une autre idée qui perdure depuis le début, le festival est familial, accueillant des visiteurs de 4 à 77 ans, des châteaux gonflables et autres jeux pour enfants sont d'ailleurs prévus à cet effet. "Notre objectif nous, c'est de mettre en avant notre patrimoine auvergnat, notre convivialité et également des valeurs écoresponsables au plus grand nombre, il n'y a pas d'âge, montrer une bonne image de Brassac".
Mais après tous les investissements de temps et d'argent, les jeunes bénévoles prient pour ne pas se manquer. "On espère 1 500 par soir, sur les trois soirs. Nous avons mis la barre très haute cette année, bien entendu il faut que le public soit au rendez-vous, sinon, ce sera difficile de continuer à grimper les marches..." précise le jeune homme.
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