Ce week-end du 24 et 25 juillet, c’était au tour des musiques folkloriques d’en mettre plein la vue (et les oreilles) à la cité ponote. Pour cette 57ème édition, malgré les contraintes sanitaires, le festival s’est réinventé. Du vendredi soir jusqu’au dimanche, ce sont trois groupes différents qui ont déambulé les rues, les places, le jardin, et même les terrasses de restaurants !
Trois groupes français au lieu de huit venus du monde entier, et pass sanitaire demandé avant d’entrer dans un lieu fermé.
Coûte que coûte, l’Interfolk conquis encore et toujours
« Une édition particulière où l’unique côtoiera la diversité, où la tradition se mêlera à la modernité » Maryline Mourgues, présidente d’Interfolk
Le samedi soir, de 19h à 19h30, ce sont les Mauvaises Graines de Lyon qui ont endiablé la place Caddelade. La Batucada a a résonné haut et fort, et a réussit à transporter le public dans l’atmosphère chaleureuse brésilienne des musiciens.
Après ce moment de .. , un petit mot des musiciens :
Pourriez-vous dire un mot sur vous ?
« On est sympas. Et on est beaux. » (sourires). Après 17 années d’existence, c’était une première pour la compagnie de venir jouer dans les rues ponotes.
Leurs réactions ?
« On est vraiment contents d’être là. C’est la première fois qu’on joue au Puy-en-Velay. On est vraiment contents d’être là. Déjà joué à Yssingeaux en 2007 les gens sont hyper sympa, ils dansent, tapent dans leurs mains… » c’est avec rire et bonne humeur que les musiciens ont rejoint le cœur de la ville revenir un peu plus tard jouer de leur musique chaude place de la mairie.
Les Mauvaises Graines sur la terrasse des restaurants
Photo par Clara Duchêne
Un peu plus tard, dans la cour du conseil départemental, c’est la compagnie « Arrête j’adore » qui a transporté avec elle plus de 300 spectateurs pour danser et bouger au son de Roda de samba, musique brésilienne
