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Le festival de l’Arbre creux… un plein de vie pour la « der »

Par nicolas@zoomdici.com , Mise à jour le 17/07/2024 à 04:00

Le vendredi 19 et samedi 20 juillet, la manifestation musicale la plus cool de l’année revient aux Planchas. Et parce que c’est la dernière édition, l’Arbre creux propose une programmation que même Shaka Ponk et Pascal Obispo redoutent.

Oui, on le sait. Skaka Ponk, c’est vendredi 19 juillet et Obispo le lendemain, dans le cadre des Nuits Saint-Jacques. Mais durant ces deux jours-là, c’est aussi le festival le plus remarquable de la Haute-Loire, dans le sens où il n’a jamais demandé, ni bénéficié d’aucune subvention, quelle qu’elle soit.

En dix ans d'existence, la seule richesse posée sur la table est un combo de solidarité, d’huile de coude et de volonté. Les copains, les copines, les cousins, les cousines, les compétences de ci et de là, les savoirs-faire des « vieux » et l’énergie des « djeuns »… c’est tout ce « melting potes » qui est mis en scène et en songe lors du festival de l’Arbre creux.

Pourtant, depuis sa création, de sacrés coups durs ont ponctué l’évènement, notamment, le décès de son fondateur, Louis Guillot, en 2016. Et puis, l'orage de grêle à l'ouverture de la 4ᵉ édition. Malgré tout, les fondations ont tenu bon, cimentées à grand coup d’indépendance et de partage.

Pour connaître toute la programmation musicale du vendredi 19 et samedi 20 juillet, les animations et les stands des artisans installés dans le village du festival dès le samedi midi, les différents types de restaurations, les prix… c’est sur ces notes de ziq ♫♪♫♫♫♪♪♪

« Parce qu'ils croient en une certaine liberté »

Sans subvention signifie avoir l'esprit et les mains libres. Mais cela signifie également un budget contraint. Devant cet écueil, les groupes invités ont toujours joué le jeux, préférant les cachets d’aspirine à trop faire la fête que les cachets financiers. « C'est dans cet esprit que les prix d'entrée et de consommation sont calculés au plus juste pour que tous les publics, toutes les générations, puissent profiter de l'évènement », assure Florine Guillot, responsable de la communication.

Elle ajoute : « C’est aussi dans cet esprit que le marché accueille des artisans qui proposent des articles de leur création avec une dimension écologique et locale. Enfin et surtout, c'est dans cet esprit que se retrouvent les festivaliers à l'Arbre Creux. Parce qu'ils croient en une certaine liberté, parce qu'ils plébiscitent un moment de rencontre et d'échange et parce qu'ils soutiennent une organisation courageuse ».

Junkyard Crew, Samarabalouf, Les Vieilles Valises, Paddy’s, Dïak, Boucan et, pour le grand final, une surprise monumentale...

Cette année, la dixième édition clôt cette aventure humaine. Alors, pour honorer comme il se doit ce festival de résilience, les organisateurs n’y sont pas allés de mains mortes, question « prog ». Par exemple ? Les Vieilles Valises, ça vous dit quelque chose ? Le groupe local qui enflamme les planches à chacun de leur pas vont assurément calciner les lieux dès le vendredi 19 juillet. Et pour faire monter la cuisson de ces pyromanes des sens, ce n’est autre que les mythiques Samarabalouf qui les précéderont.

« Au creux de cet Arbre se trouve la vie »

Le lendemain, c’est Boucan qui va mettre un barouf d’enfer. Mathias Imbert, chanteur, contrebassiste, batteur simultané, petit punk sensible… et Brunoï Zarn, chanteur, guitare-bidonniste, banjoïste, géant patibulaire, mais presque, jouent une musique libre et sans limites. Le duo, aux textes surréalistes trempés dans la sauce chamanique, aura la charge de préparer le terrain pour Le Grand Terminus. Quoi que c’est que ce truc ? Surprise…

Mais parce que la rédaction de Zoomdici est super sympa, elle vous donne un indice : « Au creux de cet Arbre se trouve la vie, parsemé de vers, de notes et d’amis, soufflant dans l’air la belle mélodie, ce poème à mille voix qui s’appelle la vie ».

 

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