En voilà des entrepreneurs qui ne manquent pas d’air. Car, avec le nombre de nouvelles structures gonflables installées récemment à Lily’Land par Sandra Mantel et son mari, les souffleries fonctionnent à bloc.
« Nous avons repris l’affaire, il y a un an et demi environ, explique Sandra Mantel. L’intérieur n’a pas vraiment changé même si nous avons tout de même mis une ambiance plus dynamique qu’auparavant ». Elle ajoute : « Par contre, sur l’extérieur, c’est un très très gros changement qui s’opère car nous avons investi l’ensemble de l’espace ».
Welcome to the Jungle
Au menu du Lily’Land nouvelle génération, il y a, entre autres, un circuit quad. « Ce sont tous des engins électriques pour minimiser le bruit et l’impact carbone, précise Sandra Mantel. Dans cette attraction, les enfants sont, bien entendu, les premiers accueillis, mais les parents peuvent aussi les utiliser ».
Un autre élément gigantesque va jouer des coudes avec les structures déjà en place. « En plus de la pieuvre interactive où deux équipes s’affrontent sur une surface gonflable et du toboggan aquatique, nous sommes en train d’installer un immense Jungle, confie Sandra Mantel. C’est un parcours de 24 mètres de long avec deux pans inclinés et divers agrès qui ponctuent le circuit ».
« C’est tout à fait unique en Haute-Loire, notamment par ses dimensions »
Mais LA structure phare du site entièrement lifté reste le Air Jump. En français, ça pourrait se traduire en Saut aérien ou Saut dans l’air. Et pour cause. Quatre souffleries sont nécessaires pour gonfler ses mensurations XXL.
« Ce Air Jump mesure 9 mètres de haut, détaille Sandra Mantel. Nous l’avons importé de Belgique et c’est tout à fait unique en Haute-Loire, notamment par ses dimensions ».
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Elle nous éclaire en ce sens : « L’enfant, à partir de 7 ans, ou n’importe quel adulte, effectuera un saut de 7 mètres. Il tombera sur un coussin empli d’air qui se dégonflera en partie au moment de l’impact. Il n’y a donc aucun risque de blessure possible. D’ailleurs, toutes nos structures sont testées et conformes à la réglementation ».
Mais parce que les journalistes de Zoomdici sont d’intrépides reporters de terrain, nous avons voulu tester nous-même l’expérience. Et il est vrai que, une fois arrivé sur le seuil du saut, la bouche s’assèche, le cœur s’emballe et le ventre se fait la malle.
La preuve avec la vidéo ci-dessous ▼