La hiérarchie a été respectée, ce dimanche 22 octobre, à Polignac, à l’occasion de la rencontre entre Velay FC (Régional 1) et Le Puy-Foot (National 2), pour le compte du 6e tour de la Coupe de France.
Les Ponots l’ont emporté (0-2, mi-temps : 0-1), mais ce succès n’est pas vraiment arrivé au terme d’une promenade de santé.
La première mi-temps a vu des visiteurs dominateurs, attendant leurs adversaires assez haut, sur le terrain, leur interdisant du même coup de pouvoir construire quoi que ce soit, si ce n’est de timides tentatives.
Les joueurs de Roland Vieira, le coach du Puy-Foot, on ouvert le score assez rapidement, par N’Doye, qui s’est joué de son défenseur pour aller prendre le portier de Velay FC à contrepied (0-1, 15e).
Velay FC s’expose aux contres
Favorisant le fait d’être bien en place, les Ponots jouent plutôt timidement les coups, face à des pensionnaires de R1 qui ne parviennent pas à trouver les décalages.
La deuxième mi-temps verra à peu près la même tendance, même si après que Pierre-Louis Listner aura doublé la mise, pour Le Puy-Foot, Velay FC bousculera par tous les moyens le rythme de sénateurs que vont tenter de poser leurs visiteurs.
Les locaux jouent plus haut, tentent de construire sans user de longs ballons devant. Mais ils s’exposent aux contres de leurs adversaires. Toutefois, ces derniers pèchent dans le dernier geste et le score en restera là.
La réaction de Michaël Pierzak, coach de Velay-FC
« On n’a pas à rougir , on s’est battu, on a essayé de jouer, c’est ce que j’avais dit aux joueurs, que l’on quitte le terrain sans ne rien regretter. Le Puy nous a fait beaucoup courir mais au final ils ont été réalistes car on ne leur concède pas beaucoup d’occasions.»
La réaction de Roland Vieira, coach du Puy-Foot
« On s’est rendu le match facile en étant très sérieux, on voit à la déception de Polignac qu’ils avaient envie de faire quelque chose. Tout le monde avait envie de voir Le Puy tomber, ce qui est logique, on est souvent pour le petit. Je suis fier des efforts fournis par mes joueurs.»
J.J.