Une récente étude issue des Furets révèle la hausse des prix des assurances de tout type prévue pour 2024. Auto, habitation, complémentaire santé...Comme partout en France, des milliers d’altiligériens vont trinquer à la nouvelle année...et trinquer financièrement très bientôt pour s’assurer correctement.
Les Furets ? C’est quoi ? C’est le premier comparateur de « dépenses contraintes ». Autrement dit les dépenses que vous, nous, et la totalité des gens conduisant une voiture, logeant dans une habitation et consommant des médicaments se doivent de payer obligatoirement.
Le site des Furets compare, en toute transparence et indépendance, les tarifs, les garanties et les services de 208 partenaires dont 78 en assurance. Cette fois, ces fouines d’enquêteurs s’attaquent aux futurs tarifs des assureurs. Leur rapport fait mal aux yeux, pour rester poli, tant les chiffres énoncés apparaissent comme autant de cactus à avaler, à digérer et à sortir.
70% des sondés en colère ou alarmés devant les hausses à venir
En 2024, il est donc estimé une inflation comprise entre 6 et 8% pour l’assurance auto. Pour celle de l’habitation, même topo. Et pour les mutuelles, attention, tambour...c’est 10 % de plus que vous paierez dans les jours prochains pour vous faire rembourser vos médicaments….de moins en moins remboursés.
Outre la présentation de ces ratios qui font froid dans le dos, les Furets se sont alors immergés dans une dense analyse des consommateurs sur le sujet. Pour les Auvergnats, 69% des sondés trouvent ces inflations injustifiées et presque autant se disent inquiets dans leur capacité financière à honorer ces « dépenses contraintes ».
Sur le sentiment éprouvé, 70% se disent en colère ou alarmés devant les hausses à venir, ressenti partagé notamment par les plus de 50 ans.
Mettre les assureurs dans l’arène des gladiateurs
L’étude souligne également que la plupart des Français souhaitent faire des économies dès que possible. 35% des répondants sont enclins à réduire leur budget lié aux assurances. Les jeunes se disent prêts à réduire leurs dépenses liées aux loisirs.
Quant aux solutions pour encaisser la douloureuse, plus des deux tiers des Auvergnats entendent faire jouer la concurrence entre les assureurs pour saigner au maximum ces tarifs gonflés d’orgueil. Cette solution est d’ailleurs préférée à la négociation des tarifs avec son assurance actuelle.
