Un partenariat renforcé pour accélérer la transition énergétique en Haute-Loire
Haute-Loire : la situation sanitaire continue de se dégrader
Au 19 décembre, le taux d’incidence s’élève en Haute-Loire à 667,3 cas pour 100,000 habitants.
Au 22 décembre 2021, 79 personnes sont pris en charge dans les hôpitaux de Haute-Loire au titre de la COVID-19 (+ 9 en 5 jours) dont 5 en soins critiques (+ 1).
Au 19 décembre, le taux d’incidence s’élève en Haute-Loire à 667,3 cas pour 100,000 habitants. Il est supérieur à celui observé au niveau national (550,4). Après une brève accalmie observée la semaine dernière, ce taux est à nouveau en hausse. Le taux de positivité est également en augmentation. Il est porté aujourd’hui à 9,4 (6,8 au niveau national).
Au 22 décembre 2021, 79 personnes sont pris en charge dans les hôpitaux de Haute-Loire au titre de la COVID-19 (+ 9 en 5 jours) dont 5 en soins critiques (+ 1).
Depuis le début de l’épidémie en mars 2020, 287 personnes sont décédées de la COVID-19 dans les hôpitaux du département (+ 2 en 5 jours)
Recommandations de la préfecture
Dans ce contexte, et alors que le virus circule très activement dans le département, le préfet de Haute-Loire et l’Agence régionale de santé invitent tout un chacun à faire preuve de responsabilité et à s’approprier les recommandations du Conseil scientifique COVID-19 et du Gouvernement concernant les réveillons organisés en famille ou entre amis : réaliser si possible un test de dépistage préventif, limiter le nombre de convives, respecter les distances physiques et notamment éviter les embrassades, porter du masque hors temps de restauration et enfin aérer les habitations 10 minutes toutes les heures.
Point sur la vaccination
La campagne de vaccination se poursuit en Haute-Loire. Des créneaux de rendez vous sont disponibles et désormais ouverts à tous les enfants de 5 à 11 ans.
Au 21 décembre 2021, près de 172 000 personnes ont reçu au moins une dose de vaccin, cela représente 75 % de la population totale de la Haute-Loire.
Parmi elles plus de 73 000 personnes ont reçu une dose de rappel. Cela représente plus de 32 % de la population totale du département.
Durant les fêtes, il est encore possible de se faire vacciner soit en centre de vaccination où des créneaux sans-rendez-vous complètent l’offre proposée ou auprès des professionnels de santé de ville (pharmacie, médecin...).
L’offre de rendez-vous est régulièrement adaptée au besoin de la population.
Après un an de mobilisation, le préfet remercie "l’ensemble des acteurs qui participe à cette campagne sans précédent et souhaite également apporter son soutien aux soignants et personnels administratifs mobilisés pour prendre en charge les malades ou les soutenir le temps de leur isolement."
Plus d’informations sur www.sante.fr.
Vos commentaires
Se connecter ou s'inscrire pour poster un commentaire
6 commentaires
dj : en plus on a affaire à un virus intelligent ! il cherche à contaminer, pas à tuer, il approche de son but. Il est donc plus intelligent que nos éminents professeurs, qui eux cherchent à le tuer ; et que nos dirigeants qui doivent allier mesures politiques, mesures pré-électoralistes, faire plaisir à l'électorat. En attendant on subit !
Normal. Les gestes barrière sont oubliés, les pass ne sont pas contrôlés. Les élus ne montrent pas l’exemple, se côtoient nombreux sans masque.
Vu ici le nombre de malins et autres "jesaistout" je ne peux lutter..mais soi dit en passant, si vous pensez que ce virus s' arrêtera un jour, peut-être ou peut-être pas....quand à la fermeture des lits elle est due en grande partie aux manque de soignants et sachant que pour former correctement un soignant la durée varie d'un an minimum à 5 ans suivant les postes, ce n'est pas moi qui le dit mais d'éminents professeurs . Alors avis aux volontaires...La critique est facile mais je suis prêt à parier que parmi tous ces ronchons la majorité d'entre eux applique à la lettre les restrictions...
Pour apporter un peu d'objectivité dans ce bombardement de chiffres de covid et de vaccins
Pourriez vous nous informer du nombre de lits d’hospitalisation en Haute Loire aujourd’hui et en 2000, ainsi que le nombre de soignants en 2021 et 2000.
au niveau national baisse de 25 % du nombre de lits en 20 ans dans le secteur public et 20 % de lits aujourd’hui fermés faute de personnel soignants.
Nos voisins ardéchois ont une baisse de 54 % du nombre de lits en 20 ans et aujourd’hui on nous explique qu’ils sont mauvais élève de la vaccination !!!
Professeur Castex expliquait en 2006 qu’il allait faire preuve de pédagogie pour rentabiliser l’hôpital public, aujourd’hui nous devons lui demander des comptes sur sa politique de santé menée depuis 15 ans !
Avec des vaccins qui n'empêchent pas de contracter le virus et de le transmettre il est franchement compliqué de dire que se vacciner est LA solution. Non??
Bref arrêtons de prendre les gens pour des imbéciles.
Ce virus va,espérons le, se stabiliser car comme tous les virus il cherche à contaminer et se répandre le plus possible et pas de tuer à tout prix.
Omicron est semble t-il moins dangereux, le virus approche peut-être donc de son but....
Les gens n'en peuvent plus des restrictions des bon conseils, on nous avait dit faites vous vacciner, aujourd'hui on se rend compte que le vaccin, certes évite (peut-être ) les formes graves mais n'est pas très utiles car les contaminations sont encore plus élevées, je voudrais bien savoir quel sont les chiffres de décés du cancer en deux ans pour pouvoir faire une comparaison et se rendre compte si ce virus est aussi mortel que le cancer, quand aux hôpitaux, on entends sans arrêt qu'ils sont fatigués, mais les gens sont fatigués partout, c'est peu-être le contexte qui fatigue plus que le travail...