Une habitation de 200 m² protégée in extremis d'un incendie
Un quatrième cabinet de radiologie cambriolé en Haute-Loire
À peine une semaine après le vol de trois échographes au Puy et à Yssingeaux, et une tentative d’intrusion dans le centre de radiologie d’Aiguilhe, les malfrats ont de nouveau remis ça.
Durant la nuit du 20 et 21 novembre, des délinquants, apparemment très organisés, ont effectué une opération d’envergure au Puy-en-Velay et à Yssingeaux. Cette même nuit, ils ont dérobé au total trois échographes, dont la valeur est estimée entre 70 000 et 100 000 euros chacun.
Le centre de radiologie Henri Dunant, rattaché à la Clinique Bon Secours au Puy, a ainsi perdu deux appareils indispensables pour procéder à l’examen du Doppler et de l’échographie. Le CardioParc d’Yssingeaux a également perdu un échographe. Pour le pôle d’Aiguilhe, son rideau de fer a été forcé, mais les individus n’ont pas réussi à pénétrer à l’intérieur.
« Ils sont entrés par la fenêtre et ont emporté notre échographe. Étrangement, ils n’ont rien emporté d’autres. »
Malgré le travail actuel des enquêteurs concentrés pour remonter la piste des voleurs, ces derniers n’ont pas hésité à remettre le couvert. Dans la nuit de dimanche 24 au lundi 25 novembre, c’est au tour du Centre d’Imagerie Médicale de Brioude de subir cette vague de pillage.
« Ils sont entrés par la fenêtre et ont emporté notre échographe, témoigne une employée. Étrangement, ils n’ont rien emporté d’autres. Pourtant, il y avait des écrans et pleins d’autres choses à leur portée ».
« Nous ne pensions pas que nous serions une nouvelle cible. »
L’employée du CIM 43 Brioude poursuit : « C’est la première fois que nous arrive. Nous avions bien entendu parlé de ce qu’il s’était passé au Puy et à Yssingeaux, mais nous ne pensions pas que nous serions une nouvelle cible, surtout une semaine après les premiers vols ».
Pour terminer en ces mots : « Oui, naturellement, nous sommes affectés par ce qu’il s’est passé. Et nous ressentons un sentiment d’appréhension. Mais la priorité est nos patients et que le suivi de leur soin soit respecté. Chose que nous sommes arrivés à solutionner ».
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