Une ponote de 20 ans part semer des sourires au Sénégal
Naussac, en voile de mariée
La retenue d’eau de Langogne a eu rendez-vous avec le brouillard pour un mariage d’une beauté sans nom, drapé de sombre et de mystère, d’ombre et de lumière. Le photographe Didier Hébrard a été le témoin d'honneur de ces noces majestueuses.
Il est coutume de dire qu’une image vaut mille mots. En voici un bel exemple avec cet article composé de photos, toutes issues de l’objectif de Didier Hébrard, voleur de « beau » et amoureux du coin.
Le lac de Naussac. Ce corps malmené par les changements à l'œuvre et à venir, son visage tant aimé par les gens du passé et d’aujourd’hui. Une perle d’eau emplie d’histoire.
Dimanche 3 novembre, l’eau des terres s’est liée avec celle des airs, embrassant doucement leur peau d’aquarelle, caressant l’écorce des arbres et les plumes des oiseaux. Pendant une poignée de temps, Didier Hébrard s’est égaré dans cette intimité, immortalisant la délicatesse et la fragilité du monde.
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2 commentaires
Quelle plume poétique qui nous emporte...vers le merveilleux. Beauté des mots.
Bravo.
hm 05/11/2024 - 18h15: Très bel article panaché de magnifiques photos! mais attention n'allez pas trop flâner dans la zône protégée au bout du lac vers florac, ça coûte 135 euros, j'en ai fais les frais il y a deux ans. Pas de barrière, pas de panneau, rien n'interdit l'accès en voiture, mais la verbalisation se fait aveuglément. D'ailleurs plus de véhicules et personne dans ce secteur, plusieurs vérifications faites au cours de cet été c'est le désert!. Un petit paradis interdit!.