Le groupe altiligérien le plus lessivé du monde sort son 1er album

Par Nicolas Defay , Mise à jour le 24/02/2024 à 15:30

Les Washing Machine Club ont fait leur première machine de ziq. Et le trio, complètement rincé du ciboulot, n’a clairement pas lésiné sur la dose de poudre à laver. Au final, leur album « Laverie en Rose » est une succession de titres qui te nettoient les zygomatiques et te récurent le gris coincé dans les nœuds du cerveau.

Dès le samedi 9 mars, le premier album des Washing Machine Club (enregistré, mixé et masterisé au MC Studio par Mathias Chaumet), intitulé « Laverie en Rose », est dans les bacs ! Et pour fêter l’événement, le groupe invite le monde entier à un méga concert au Garage K (13, avenue Foch au Puy-en-Velay) ce même jour du 9 mars. À partir de 21 heures, ce show va ainsi partir, tambour battant, avec un cycle à régler 60 degrés pour un essorage à 1 200 tours !

Une musique qui te javellise le cafard

Le linge, qui en ressort plus rose que rose, est un panier rempli d’humour avec, entre autres, une chanson jetable, une ode à la beauté de la langue « j’aime ta langue », une fable rocambolesque « le connard et la Renault ».

Il est aussi question d’histoires de rupture amoureuse avec les chats ou encore d’effondrement avec « Fall down »... Les textes sont portés par une voix « qui vous saisit et ne vous lâche plus », d’après Média Pop Punker. Quant à la musique, ça va droit au but, ça fonce dans le tas, ça avance tout droit, ça javellise à tout-va !

Le concert des Washing Machine Club, c’est samedi 9 mars dès 21 heures, au Garage K, 13 av. Foch au Puy

Le trio aime laver leur linge sale en public.
Le trio aime laver leur linge sale en public. Photo par DR

Les trois zikos laveurs ? Ce sont eux ▼

Au tambour de la machine, c’est Pierre, alias Peter Bony. Après plusieurs années d’interruption, il a repris ses fûts. Et chose est certaine, c’est qu’il n’a pas perdu en puissance l’ancien métalleux. Ex-batteur de « Namass pamouss » et de « Blackout », il a aussi été l’un des auteurs de « Cause perdue ».

Pour enlever les tâches qui sont cachées dans les nœuds des torchons, rien de mieux qu’une bonne grosse partie de basse. C’est Camille, de son pseudo Mike Martin, qui s’en occupe. Ce laveur est bien connu de la scène altiligérienne car il officiait dans les « Bêtabloqués » et officie toujours dans les incontournables « Gens Bons Beurs ».

Enfin, au chant, à la guitare et aux grimasses, c’est Thierry, autrement dit Bernie Tapar, qui s’y colle. L’ancien auteur de PH7, gratteux de « Bêtabloqués » et de « Bernie tapar », il partage son timbre de voix et sa gestuelle hors du commun que même Jim Carrey jalouse.

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